• Et c’est à la limite du pathétique.

    C’est au restau que c’est le pire.
    Quand j’étais petite, j’avais l’intention d’ouvrir un restaurant où il y aurait eu un seul plat, et un seul dessert, pour les gens un peu comme moi.

    L’idée m’est vite sortie de la tête. Heureusement entre nous, parce qu’un resto à plat unique avec une clientèle de psychopathes névrosés, c’était peut-être pas l’idée du siècle, je vous l’accorde.

    Du coup je continue d’aller dans des restos où il y a trop de choix.

    Moi : « vous avez quoi comme pizzas ?
    Lui : « calzone, norvégienne, margarita, 4 fromages, campagnarde, savoyarde, végétarienne, « free » avec 7 ingrédients au choix, demi-free avec 3 ingrédients et demi au choix, double free avec 14 ingrédients au choix, le tout base crème, tomate normale ou tomate cerise, pâte fine, moyenne, épaisse, méga fine, super épaisse, moyennement croquante, extraordinairement cuite ou fabuleusement fondante. »

    Moi : « je vais prendre un gratin dauphinois s’il vous plaît ».

    C’est en général au moment où le serveur s’en va que je réalise que le gratin dauphinois, c’est pas si bien que ça.
    Alors 9 fois sur 10, je saute de ma chaise après dix minutes de réflexions acharnées et de renoncements déchirants, et je fais signe au serveur, l’air con et gêné : « excusez-moi, si c’est pas trop tard je vais prendre un streak frites ». Que je vais finir par manger en pensant à la norvégienne ;

    Bref, ma vie est un enfer. Celle des serveurs que je croise aussi.

    Parfois il y a des choix même pas déterminants à faire. Ceux-là c’est les pires, puisque par définition, quoi que tu choisisses, ça changera rien.
    Genre t’arrives dans le train. Il y a des places partout. Quelqu’un de normalement constitué s’assied s’asseoit se pose donc n’importe où, puisque ça ne change rien. Oui mais moi, non.
    Pourquoi je me poserai plus dans ce compartiment que dans l’autre ? Pourquoi plus à gauche qu’à droite, à contexte similaire. Oui parce que je suis pas une buse non plus. S’il y a une colonie de vacances dans un wagon et trois retraités dans l’autre, je vais pas hésiter longtemps. Mais si il y a personne dans les deux ? Ou une colonie de vacances dans chaque ?

    Alors j’hésite pendant 10 secondes. Mais c’est long 10 secondes quand t’as l’air effrayé dans l’allée du train, en regardant tour à tour le fauteuil de gauche te celui de droite, avec 5 personnes qui attendent derrière toi pour avancer. Et je finis par m’asseoir à gauche (ou à droite, pas de politique ici hein), en regrettant l’autre siège, parce qu’évidemment c’est sur l’autre qu’arrive le soleil.

    Des choix déterminants, je crois que j’en ai jamais fait dans ma vie (Sauf le coup du steak frites l’autre soir.)
    .Je m’arrange toujours pour être dans des situations intermédiaires, dans lesquelles tous les choix sont encore possibles et rien n’est irrémédiable. C’est peut être pour ça que je m’entiche que d’hommes pas dispo dans leur tête, parce qu’au moins, avec eux, je n’aurais jamais de vrai choix à faire. Sauf d’arrêter de perdre du temps. Fin de la parenthèse plaintive et philosophique à deux euros. Et encore je suis gentille.

    Bon après, heureusement, il y a des choix évidents.
    Par exemple, si tu me demandes si je préfère être heureuse toute ma vie ou que ma mère change de sexe tous les mois*, là je sais. Et même pas j’hésite.

    Par exemple aussi, si tu me demandes si je préfère aller aux fêtes de Bayonne et prendre un mois de vacances en août ou rester à Paris, je sais.
    Si tu me demandes si je préfère partir 15 jours en juillet en Provence parce que ça serait cool ou rester travailler à Paris parce que ça serait raisonnable, là ça se complique.
    Si tu me demandes si je préfère aller au concert de Mika avec frère, belle-sœur, cousins et cousines, réservé depuis plus de trois mois et payé bonbon les places, ou annuler le concert et rentrer dans ma province natale pour être aux côtés de ma petite sœur pour ses résultats de bac, là c’est le branlage de neurones garanti.

    Voilà en quoi a consisté mon week-end, niveau réflexion. Je vous rassure, j’ai tranché, mais Boudiou c’était pas gagné.

    Kmille, en mode vous préférez manger du gratin dauphinois toute votre vie ou que votre mère repasse son bac tous les jours ?

    * Rendons à Palamde ce qui à Palmade, cette blague n’est pas de moi. Dommage, j’aurais vendu ma mère pour la trouver toute seule. Enfin seulement si elle changeait de sexe tous les mois. En femme, je la garde.


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  • C’est marrant cette manie qu’ont les gens de donner des surnoms à tous leurs potes. Et surtout de les caser après, dans les discussions.

    Par exemple, si tu parles d’une soirée ouf guedin que t’as passé, faut croire que c’est vachement plus cool de raconter que t’étais avec Loup’s, Mat’, patou, Loulou et Sody qu’avec Marc, Antoine, Isabelle, Marie, et Gilbert.

    Bon je vous l’accorde, Gilbert c’est pas vraiment un bon exemple parce que c’est un peu la loose. Appelons-le Gigi. Qui se transformera bientôt en Djidji. Puis en "Djidji" L’amoroso. Puis en Lamo.

    Ce qui nous donnera, si Gilbert arrive à s’incruster à la soirée des gens cool, que t’étais avec Loup’s, Mat’, patou, Loulou , Sody  et Lamo.

    Alors t’en parleras, t’en parleras, attendant avec impatience qu’on te demande d’où ça vient. Ce à quoi tu répondras, l’air un peu blasé : « Oh, une connerie. On s’est tapés un trip à une soirée sur son prénom. De Gilbert on est passés à Djidji et de Djidji… » et tu connais la suite.

    C’est tendance, les surnoms qui ont une histoire. Ca prouve que t’as un super groupe d’ami, et que tu te tapes des gros tripes avec eux.

    Moi il y en a un que j’aime bien, c’est Thomas, alias La Daube. Un jour dans un bateau il a eu un problème de chasse d’eau. Du coup il a repeint les murs de sa cabine avec ses excréments. Et ça je trouve ça drôle, parce que j’aime bien les histoires de caca. Même si ça doit pas être facile à porter tous les jour, je te l’accorde.

    J’ai remarqué aussi que tout à l’air vachement plus hype quand les gens cool sont en couple.
    Avoue, « Je suis allée à une soirée chez Lulu et Drum,, avec Babou et Rap’s et Battle et Joyli », c’est quand même vachement plus bandant que si tu racontes que t’y es allée avec Judith et Edwige. Ou que si tu racontes que tu y étais toute seule.

    Et le clou du spectacle, c’est quand tes potes cool ont des jobs cool. Là, ça pète sa mère. Genre, je sais pas moi, directeur de casting, mannequin, restaurateur, réalisateur, dresseur de guêpe ou musicien.

    Là, si tu veux un conseil, faut vraiment t’arranger pour le placer quelque part. Mais attention, au détour de la conversation hein. Pas genre excitée : « et tu sais quoi faut que je te raconte un truc de fou ! J’ai un pote (de pote de pote de pote de pote), il travaille dans le cinéma ».

    Là ça va pas du tout, ça fait même carrément pitié, à la t’as jamais croisé quelqu’un de haut placé alors tu mouilles ta culotte tellement ton heure de gloire est arrivée.

    Non, non, discrètement, joliment, insidieusement, souplement.

    Voilà voilà voilà.

    Bon je vous laisse les amis, il faut que j’aille travailler. Pourquoi ? Oh, jute parce que j’ai un copain dessinateur qui fait des trucs vraiment terribles, et qui organise une expo ce week-end. Du coup je voudrai bien trouver le temps d’y aller.

    Tu vois, comme ça, un peu, faut faire.

    Et puis il est en couple et ça aussi c’est la classe à Dalas. Surtout quand tu vois la nana en question. (Il y a juste quelque minutes où tu es un peu énervée parce que tu te rends compte que le bon Dieu il a merdé dans la répartition des qualités entre les nanas de cette terre vu comment elle les cumule, mais après, tu t’y fais)

    Bon, il s’appelle Henri, comme ça, ça tabasse pas des masses, mais tu peux l’appeler Hen-hen si tu veux, ou Riri aussi.

    Si tu y vas, ce que je ne peux que te conseiller, vraiment, tu pourras dire que ce week-end t'étais à l'expo d'Hen-hen, un dessinateur qui connaît ta pote Ca-ca journaliste et auteur.

    Kmille, en mode et-on-a-le-même-copain-d’enfance-qui-s’appelle-« clem ».
    Oui bon d'accord c'est juste parce qu'il s'appelle Clément



    visuel_expo_Henri


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  • Ca y est. J’ai fini mon livre. Waou « mon livre » faudra que je m’y habitue parce que pour l’instant j’ai l’impression de raconter une blague.

    Pourtant c’en est pas une. Ca me fait comme après le bac. Vous vous en souvenez de cette impression de liberté complètement grisante qui vous est tombée dessus une fois que vous avez craché le dernier mot de la dernière rédac de votre dernière matière. Et que les dès sont jetés, alors qu’il n’y même pas vraiment à s’inquiéter.

    Je me souviens pendant mes périodes d’exams, j’avais comme des mini-révélations à chaque fois : je me demandais comment j’avais fait pour ne pas me rendre compte à quel point c’était bien de faire une sieste, de perdre du temps à me promener, de faire une grasse mat’, de pas avoir de pression, de regarder une connerie à la télé. Je me disais qu’en fait c’était pas plus compliqué que ça le bonheur, et que promis, à la fin des exams, je saurai enfin en profiter.

    Sauf que la première grasse mat’ du lendemain, tu l’apprécies vraiment, d’autant plus que si tout va bien tu te l’es méchamment collée la veille. Mais la suivante, moins. Puis la re suivante, re encore moins. C’est peut être pas que tu l’apprécies moins, mais plus que tu ne te rends plus compte que tu l’apprécies. Et ce qui était devenu le symbole du bonheur devient un truc normal et tout rentre à sa place, et tu attends beaucoup plus que ça du bonheur.

    Et pire, ce que tu ressens en fait, c’est comme un gros vide. Ton cerveau et ton temps qui ont été habitués à être consacrés à une seule et même chose se retrouvent tout errants, et toi tu erres derrière eux.

    Tout à l’heure, je me suis surprise à parler toute seule. Et vous savez ce que je me suis entendue dire ? Suspens. Mais bon t’enflamme pas trop parce que tu verras c’est plutôt pathétique.

    J’ai regardé l’heure et j’ai dit : « plus que 5 heures ».
    Et comme je suis toute seule et que je fais donc les questions et les réponses, je me suis demandée (à voix haute toujours hein, c’est plus triste encore)
    « 5 heures avant quoi ? »
    « 5 heures avant que la journée soit terminée. »

    Je t’avais prévenu, hein.

    5 heures avant que je n’ai plus à culpabiliser de ne rien foutre. Parce que je n’ai rien foutu de la journée.

    Pourtant j’ai des trucs à faire, mais pas l’énergie pour les faire.

    Je me sens larvique, loukoum, toute chmoute et autres expressions qui ne veulent rien dire mais dont la sonorité parle pour elles-mêmes.

    En fait je crois que je suis en dépression post livrum. Ou post gros-travaillum. Bref, c’est comme un après bac mais sans les bulles de champ qui vont avec ni les vacances d’été qui se profilent.

    Mais avec le corps lourd et le moral en berne, l’envie de dormir pour deux mois et demi et les grosses bouboules d’avoir perdu une journée.

    Je vous laisse, je vais aller bouffer du pâté pour chat.

    j’espère vous avoir remonté le moral

    Kmille en mode non-non-ne-me-remerciez-pas

    Ps : j’ai quand même une petite pensée pour ma petite sœur, qui elle doit être en train de fliper sa race à l’approche du bac, et que si c’est pas le cas je me chargerai de lui rappeler ce week-end qu’elle devrait, pourtant. Et une autre pour mon autre petite sœur qui doit à l’heure qu’il est se déplacer en rampant puisque ça fait à peu près un mois et demi qu’elle est en exams. Courage, t’as plus qu’un mois à tirer. Une pensée aussi pour Lilou, qui elle s’apprête à décoller pour la Grèce. Si vous avez d’autres dédicaces à faire, n’hésitez pas c’est le moment. Et puis ça m’occupera.


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  • … Un moustique très très rusé ?
    Moi oui. Hier. Enfin pas vu exactement, puisque c’est le propre du moustique très très rusé de ne pas l’être, vu. Je l’ai juste entendu. Saloperie.

    Dans les choses que je déteste, je crois que ça arrive en troisième position après le chômage et les méchants. Ex æquo avec le bruit des fourchettes sur les assiettes.

    Le moustique très très rusé se distingue du moustique très très chiant par le fait qu’en plus d’être très très chiant il est très très rusé.

    Concrètement, il vous agresse toute la nuit à coup de « Brrrrrrrrzzzzzzzzzzzzzzzzz » (bruit du moustique très très chiant), mais contrairement à ce dernier, a la faculté de se volatiliser à la première lumière allumée dans la douleur par la victime très très pas contente de se prendre dans la tronche son hallogène Ikéa alors qu’elle tentait d’en atteindre l’interrupteur.

    Oui parce que c’est ça l’avantage d’habiter un loft de 12m2. Pas besoin de se lever pour atteindre la lampe principale. Ni même pour cuisiner ou prendre sa douche d’ailleurs. T’as juste à te mettre à la perpendiculaire dans ton lit et à te rouler élégamment jusqu’à son extrémité, de laquelle tu peux aisément allumer ton halogène donc, mais aussi accessoirement attraper ta brosse à dent et battre tes œufs en neige.

    Sauf qu’à deux heures du mat’ après avoir lutté comme une dingue pour t’endormir durant les trois heures précédentes, tu comprendras que la roulage élégant tient plus du vautrage mamouthal dans un râle d’énervement.

    Revenons à nos moutons, ou plutôt à notre moustique (oh oh oh). Une fois donc que tu comprends qu’il vient de te vider un lit du sang du pouce, juste sur l’os là où c’est chiant de gratter, une fois que tu t’es auto-collé une méchante mandale en voulant le faire fuir de ta joue, une fois que tu t’es rendu compte que l’option sarcophage sous ta couette en plume c’était vraiment pas jouable sous 40 degrés sous les toits, une fois que tu t’es dit que celui, qui se reconnaîtra, qui t’a récemment assuré que les moustiques qui faisaient du bruit ne piquaient pas, s'est bien foutu de ta gueule ou devait pas être net ce jour-là, une fois tout ça, tu te décides que son heure est venue et qu’il va prendre cher.

    En plus tu te rappelles d’un certain ex, qui parmi d’autres nombreux talents, avait celui de te niquer un moustique en moins de temps qu’il faut pour le dire, et ce à n’importe quel moment de la nuit. Il te suffisait de dire moustique dans un demi sommeil pour que le gaillard déplie son mète 85 de muscles, se hisse sur le lit, tende le bras pour atteindre l’interrupteur, l’autre pour exploser la pauvre bête d’un violent coup de coussin, et se recouche avant que tu ais le temps de le remercier comme il se doit.

    Du coup t’essayes de faire pareil, sauf que tu te rends compte que l’ex en question il avait du tomber sur un moustique doté d’un QI de moule, et que le tien (de moustique pas d’ex), il a oublié d’être con l’enflure.

    T’as beau explorer avec attention chaque centimètre carré des 4 murs de ton loft (et si tu as suivi ça en fait pas beaucoup de cm2), rien à faire, la crevure de moustique s’est fait la malle… Jusqu’à ce que tu te recouches.

    Et ce cinq fois environ. Jusqu’à ce que tu te décides enfin à abandonner l’idée jouissive de lui exploser la tête et de voir gicler le sang qu’il t’a fourbement subtilisé, pour une méthode nettement plus douce mais non moins radicale : le désodorisant moustique.

    Mais comme c’est vraiment pas ta nuit, t’es tombée sur LE désodorisant moustique qui ne peut être qu’efficace puisque même toi tu n’arrives plus à rester dans la pièce. Désodorisant qui a au moins l’avantage de t’assommer au point de rejoindre enfin les bras de Morphée.

    Ce matin j’ai retrouvé le moustique. Les 4 pattes en l’air dans une flaque de formage blanc. Il avait du s’embourber dedans et mourir dans d’atroces souffrances. Triste mort pour un moustique très très rusé.

    Kmille, en mode bien-fait-pour-sa-gueule


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  • Je suis sollicitée tout le temps. Je dois avoir une tête de brave fille qui ne saura pas dire non.

    D’ailleurs, c’est pas complètement faux, quand je ne donne pas à quelqu’un qui me demande de l’argent, ça me brise le cœur et je passe une journée de merde.

    J’habite à Paris. Vous comprendrez aisément pourquoi je passe beaucoup de journées de merde.

    Malheureusement, j’ai beau être une brave fille au petit cœur fragile, j’ai pas de quoi donner à chaque fois. Souvent donc, je dis non. Mais j’ai pas encore tout à fait le truc pour dire non. Du coup j’observe comment ils font, les autres.

    Il y a ceux qui disent « Non j’ai rien du tout ». Tu vois, j’ai deux poches sur le devant de mon jean, deux derrières, et un cabas dans lequel je pourrai faire entrer une famille de somalien mais non. J’ai rien. Juste du matériel de couture et une clé de 12, au cas où. Et le paquet de cloppes que je m’apprête à acheter je vais le payer en épingles à nourrice.

    Il y a ceux qui secouent leurs mains avec un regard déçu l’air de dire « bah non t’as vu il y a rien ».
    Ah attends reviens, autant pour moi, j’avais pas vu j’ai un billet de 5 euros coincé entre le majeur et l’annulaire de ma main droite.

    Il a ceux qui ne répondent pas ; Même à un chien on lui donne un regard quand il aboie. Ceux-là, je ne les comprends vraiment pas.

    Il y a ceux qui disent « J’ai pas d’espèces ». Genre c’est vraiment ballot parce que je t’aurais bien donné un petit quelque chose dis ! Et si le clodo il prend les chèques, tu le dégaines vraiment ton stylo ?

    Il y a ceux qui disent « J’ai pas d’argent ». Tu vois mec, je suis comme toi, j’ai pas d’argent. C’est vrai je suis propre et sapé, je pars pour ma journée de boulot, mais ne te méprends pas je suis payé en Haribo. J’ai eu une prime récemment, je t’offre un rouleau de réglisse ?

    Il y a ceux qui disent « Oui tiens. Non je rigole. » Ceux-là ils sont vraiment pas sympas.

    J’ai beau retourner le problème, je trouve pas de bonne réponse. Et je me surprends à dire non, désolée, avec un sourire désolé, et le pire c’est que je le suis vraiment, désolée, de devoir refuser à 10 après avoir donné à un. Mais c’est pas ça qui leur donnera à bouffer.

    Kmille, en mode et-vous-vous-faites-comment ?


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